Le rapport porte à la fois sur les espèces marines et terrestres, et rapporte que nombre d’entre elles sont très incommodées par la pollution sonore, qui a envahi la Terre entière. On y apprend – dans le désordre – que nombre d’oiseaux doivent chanter plus fort, plus aigu ou plus souvent, que certains cétacés peuvent connaître des problèmes auditifs importants ou encore que les chiens de prairie sont dérangés par le bruit routier, ce qui est le cas aussi de certains amphibiens. Et que les poissons, souvent, possèdent une ouïe très fine… entre autres phénomènes révélés par la recherche.
Le rapport s’intéresse aussi aux avantages de la végétation terrestre pour l’atténuation du bruit, et fait le point sur la réglementation concernant l’impact du bruit sur la biodiversité.
Notre magazine « Le Francilophone » consacre également son édition du 1er trimestre 2020 à cette thématique.